Le phenomene des crop circles est intimement lie a celui des OVNI. Meme si aucune preuve absolue ne vient confirmer cette relation, on a quand meme souvent observe des lumieres etranges dans les environs concernes. Je vais reprendre des extraits d'un livre de Jean Sider, qui y consacre un chapitre.
Bien que avant tout britannique, je m'empresse de preciser que ce phenomene a touche de nombreuses regions au monde (bien que beaucoup soient des canulars).
L’histoire des crop circles commence a la mi-juin 1978 juste au moment où, coïncidence amusante, Léonard Stringfield divulgue le premier témoignage sur le crash d'ovni de Roswell aux États-Unis
lors d'une conférence de l'association MUFON à Dayton dans l’Ohio. Certes, il y a eu deux ou trois cas de petits
cercles isolés depuis 1976, mais comme ils ont été attribués à des causes naturelles, ils sont restés ignorés des chercheurs jusqu'en
1978.
L’affaire s’est produite de la façon suivante. On découvre d’abord quelques cas de petits cercles simples tracés dans
des champs de céréales haut levées. Les plantes sont couchées en spirale à partir d'un point central. En général on trouve
ces anomalies dans des champs de blé, d’avoine, et de seigle. Cependant, il arrive par la suite dans quelques cas que
d'autres espèces de plantes soient concernées : le maïs, le soja,
certains légumes, etc. C'est ainsi qu'un champ de pommes de terre a fourni un tel incident près de Market Rasen, Leicestershire. Puis surgissent des cercles de très grande taille dotés de
ronds satellites plus petits. Ensuite, certains cercles sont
reliés de lignes parfois nanties de signes divers sur presque toute
leur longueur ou encore de formes géométriques multiples. Ils
évoquent des symboles anciens, des allégories, des messages, etc.
Bref, au fur et à mesure que les années se succèdent, il y a
une escalade tant dans la qualité et la quantité des canevas
représentés que dans la variété artistique des graphismes ainsi que dans l’augmentation de leurs dimensions. Depuis les années 1990, le gigantisme et le raffinement des motifs exécutés dans ces nombreuses formes picturales ont
pris une allure quasi-surréaliste. On peut voir maintenant des
figures comprenant des tracés angulaires et surtout des proportions impressionnantes. Des cas de dessins faisant entre deux
cents et trois cents mètres sont couramment observés. Certains ont même été mesurés à près de quatre cents mètres. De plus,
l’apparence exacte de certains d’entre eux n'est seulement perceptible
que vue d'une certaine hauteur, à partir d'un avion, ou du sommet d'une
colline.
Selon le physicien américain Richard Taylor, la réalisation des cercles
de culture observés ces dernières années nécessiterait l'usage du GPS,
de lasers et de micro-ondes. La complexité des dessins donne à penser
que les auteurs clandestins de ces cercles font appel désormais au
système GPS pour couvrir une grande surface avec une précision absolue
et, dans certains cas, aux micro-ondes produites par un magnetron (tube à vide dégageant une chaleur intense, utilisé dans
l'électroménager) pour aplatir très rapidement une grande quantité de
tiges.
Certains prétendent qu'il n’y a que des canulars. Le problème qu'ils semblent ignorer c’est le fait que comme
pour des toiles de maîtres, les faussaires impliquent les
artistes authentiques. En effet, il a été scientifiquement prouvé dans un certain nombre de cas que l’œuvre humaine était hautement improbable. En conséquence, les faiseurs de canulars ne sont que des imitateurs. Reste à savoir QUI ou QUOI ils se contentent d'imiter.
Intéressons-nous donc à ce qui différencie les cas anormaux
des imitations.
IMITATIONS : le démonstrateur appuie de tout son poids
sur une planche avec un pied, car il faut une forte pression pour que les tiges
ne se redressent pas. La plupart des tiges sont brisées, et beaucoup de grains
on été expulsés des épillets. De plus, la croissance des plantes cesse puisque
leurs tiges sont cassées.
VRAIS CAS : la quasi totalité des tiges ne sont pas brisées
mais seulement recourbées, et les grains sont restés intacts dans les épillets.
De plus, il est impossible de réaliser cette performance de main humaine dans
le cas de certaines plantes comme le maïs, le colza, le chou de Bruxelles, la
pomme de terre, etc. La croissance des plantes continue en position couchée, et elle peut être plus rapide
que là où elles n'ont pas été perturbées par le phénomène. ll
est
impossible de produire un tel effet avec une planche à
corde, un rouleau, ou tout autre outil manuel quel qu'il soit.
IMITATIONS : Les épis sont tous étalés en une seule couche.
VRAIS CAS : Certains sont constitués de plusieurs couches d’épis étalées dans différentes directions. Ces couches se
superposent les unes sur les autres, performance impossible à faire avec une planche à corde ou tout autre moyen manuel. Le 6 août 1999, à Bishop Cannings, près de Devizes, Wiltshire,
un cas qui a été appelé Magic Basket est apparu, comprenant des entrelacements de couches d’épis orientées différemment les unes passant en dessous des autres. L’ensemble suggère les tresses d'un panier ou les broderies artistiques d'un
napperon, particularités impossibles à réaliser de main humaine.
IMITATIONS : Il n'y a aucune modification observée dans
les plantes au niveau de leur structure physique pure hormis le
fait qu’elles sont brisées, ni au niveau de leur structure
moléculaire.
Aucun déchet ou résidu ne persiste dans les tracés.
VRAIS CAS : Les analyses en laboratoire sur des plantes
couchées sans avoir été brisées ont fait apparaître diverses modifications dans
leur structure physique, y compris au niveau moléculaire (c'est personnellement l'aspect qui me trouble le plus dans cette affaire)
En 1991, deux sexagénaires retraités qui s’ennuyaient, Doug
Bower et Dave Chorley, révèlent être les circlemakers. Le hasard – mais est-ce
bien un hasard – a fait que cet « aveu » s’est produit tout juste après
la divulgation des résultats de tests effectués sur des échantillons de plantes
couchées par le phénomène, prouvant qu’elles n’avaient pas été écrasées par les
moyens matériels des auteurs de canulars.
Inexplicablement, les médias ont accepté leurs soudaines déclarations
et ont fait les gros titres des journaux ! Pourquoi ces médias n’ont-ils
pas effectué des enquêtes pour établir la valeur de leurs prétendus aveux ?
L’histoire a même fait le tour du monde, et certains médias français qui n'avaient jamais évoqué ces incidents, se sont empressés de répercuter les “aveux” des deux sexagénaires. Résultat, le public a avalé la version servie, et l’équipe
du Professeur Levengood a été ridiculisée. Pourtant, des rapports prouvant l’impossibilité de l’œuvre humaine dans certains incidents avaient été envoyés a de nombreux journalistes. Aucun d 'eux n 'a jamais été publié par ceux-la même qui ont pourtant
accordé au tandem Doug & Dave une caution sans réserve.
Toutefois, il y a eu au moins un cas de mensonge prouvé par les deux sexagénaires. L’affaire a été rapportée par le
chercheur Colin Andrews. En 1990, il a eu l`opportunité de vérifier un
cas de cercle dont le graphisme évoquait une croix celtique. Plusieurs particularités indiquaient que le canular était
très peu probable. Plus tard, en
1991, les deux complices ont déclaré au journal Today être les auteurs de cette formation. Colin Andrews, en présence d’un reporter du même quotidien, a
alors demandé aux deux hommes comment ils s’y étaient pris pour façonner ce dessin doté des anomalies qu’il avait
remarquées. Gênés, les deux retraités ont d’abord refusé de répondre,
puis pressés par Colin et le journaliste, ils ont fait marche
arrière, allant jusqu’à reconnaître devant le cadreur qui les filmait
ne pas être responsables de cette formation. En dépit de cet
aveu, le journal Today n'a pas imprimé une seule ligne pour
dénoncer le comportement des deux sexagénaires.
D'autres effets non moins surprenants, mais de caractère
physique et psychique ont été enregistrés par diverses personnes qui s’étaient tenues au milieu de ces dessins agraires.
Par exemple, Lucy Pringle signale les effets secondaires
négatifs suivants : migraines, nausées, vertiges, fatigue. Or, il y a
également parfois aussi des suites positives : guérisons de maux
chroniques, amélioration d’états de santé précaires, sentiments de joie,
de bonheur, etc.
Mme Lesley Clementson avait eu a souffrir de crises
d’arthrite depuis 1969. Plus les années avaient passé, et plus ses genoux et ses coudes étaient devenus douloureux. Elle avait aussi
des enflures importantes aux poignets et aux pieds. Le 25 mai
1992, après bien des difficultés pour progresser, elle se place dans une formation a Lockeridge,
Wiltshire, en compagnie de son mari Steve. Après une heure et demie
passée dans le plus grand cercle de la formation, elle constate
que les douleurs de ses jambes et de ses coudes ont grandement diminué tout comme les enflures. Les douleurs ont disparu complètement dix jours plus tard, mais les enflures par
contre, ont mis quatre mois a se résorber presque en totalité.
On note aussi des ennuis mecaniques.
Mme Francine Blake survolait en hélicoptère une formation très élaborée apparue le 12 juin 2000 à Windmill Hill, afin de la photographier dans les meilleures
conditions possibles. Les deux appareils qu'elle avait emportés ont été
victimes d’un dysfonctionnement. Tout d’abord son appareil photo a cessé de fonctionner après cette visite et sur la
pellicule de trente clichés pris, seuls les quatre premiers ont été
réussis. Quant à son second appareil prévu pour les vues en couleur,
il n’a enregistré que des images en noir et blanc. Qui plus est, elles se sont avérées voilées par une sorte de brouillard.
Elle a relevé aussi des effets sur des oiseaux et des
chevaux.
Par exemple, des canards sauvages ont effectué un très net
virage au moment ou ils allaient survoler une gigantesque formation a faible
hauteur.
L'information la plus remarquable concernant les animaux nous vient du livre du Dr E. H.
Hasealhoff. Des échantillons de plantes, racines comprises, avaient été
prélevés dans les dessins agraires concernés. M. Haselhoff a constaté quelques
semaines plus tard que les souris de l’expérience avaient mangé les graines des échantillons de contrôle, mais qu’elles n'avaient pas touché à celles des plantes qui
avaient été couchées dans les crop circles. Le même constat a été fait aux
Etats-Unis par un certain Carol Schoenholz, mais les bêtes concernées étaient
des lapins.
On sait a quel point les animaux disposent de sens que nous
n'avons pas (celui de prevoir un seisme par exemple), cette experience est elle
aussi tres troublante. Dans certains cas d'observations d'OVNI qui se sont
poses au sol, non seulement la vegetation a ete victime de radioactivite, mais
les animaux des alentours ont toujours soigneusement evite la zone, parfois
durant plusieurs annees.
https://youtu.be/9eh9q8gadas
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