dimanche 28 mai 2017

Mobile Suit Gundam 0083 Stardust Memory

Titre original: Kidou Senshi Gundam 0083: Stardust Memory
Annee: 1991
Nombre d'episodes: 13 OVA + 1 film
Auteur: Yoshiyuki Tomino et Hajime Yatate
L’histoire se déroule quatre ans après la fin de la guerre d’indépendance de Zeon, qui s’était soldée par la victoire de La Fédération sur le duché de Zeon. Néanmoins, les vaincus d’alors formèrent des groupuscules pour continuer la lutte dans l’ombre. C’est ainsi qu’en l’an U.C. 0083, les survivants de Zeon apprennent l’existence de deux prototypes Gundam équipé d’armes nucléaires. Ils chargent alors l’un des leurs, un pilote d’élite nommé Gatō, de s’infiltrer dans la base fédérale et de voler une des deux machines – le but de l’opération étant bien sûr la résurrection du duché. Mission qu’il réussit parfaitement, même s’il est pris en chasse par un jeune soldat impulsif aux commandes du second Gundam : Kō Uraki. Ce dernier n’est cependant pas de taille à lutter contre un pilote chevronné comme Gatō.
À la suite de ce coup d’éclat, la Fédération envoie une unité pour récupérer coûte que coûte le prototype dérobé ; on y retrouve bien sûr Kō Uraki, qui, au fil des combats et de ses dons de combattant, devient le grand rival de Gatō. Mais lorsque Zeon utilise l’arme nucléaire du Gundam contre une colonie de la Fédération, les événements prennent une tournure plus dramatique et révèlent à tous la force militaire et stratégique du groupe rebelle.

0083 est considere comme un des meilleurs anime de la franchise Gundam (tout du moins UC), et ce n'est pas usurpe. On commence avec une realisation de toute beaute. Si les premiers episodes sont "seulement" tres bien, on passe clairement un cran au-dessus rapidement. C'est beau, fluide, colore, un vrai regal visuel, le genre d'anime qu'on ne verra plus jamais :(

L'histoire se suit avec plaisir, malgre de-ci de-la quelques petites longueurs, mais rien de bien mechant.
Les persos sont attachants, et d'autant plus humains (au sens litteral du terme) qu'aucun d'eux n'est New Type, le concept n'est meme pas evoque une seule fois. C'est un choix volontaire du producteur, Masao Ueda, au grand dam de Tomino qui aurait bien voulu voir du New Type dans cette serie. Enfin, quelque part oui, on en verra un... J'y reviens juste apres.
Chronologiquement, 0083 se situe entre Gundam (1979) et Z-Gundam (1985), et comble quelques trous qu'il pouvait y avoir entre ces deux series. On y croisera meme 2-3 personnages tires de Z, mais avec ici un role tres mineur dont... Haman Karn! Ca m'a fait plaisir mais la scene dure 10 secondes a tout casser. Quand je vous disais qu'on voyait du New Type finalement :)


Par-la meme, on a un anime plus "realiste" que les episodes classiques de l'UC. En contre-partie, l'ambiance est tres militaire. Pas de jeune prodige qui se retrouve par hasard aux commandes d'un Gundam, ici tous les pilotes sont des adultes dont c'est le metier.

Veritable succes, 0083 se vendra a plus d'un million d'exemplaires, si on prend en compte les versions VHS, LD, et plus tard DVD. Figurez-vous carrement que sous chaucun de ses formats, au moins un episode a fini numero 1 des charts a l'epoque! C'est le seul Gundam qui a reussi un tel exploit.

Le seul probleme se situe au niveau musical. Pas bon? Non, au contraire, les generiques sont excellents et les BGM superbes. Alors quoi, allez-vous me dire? Et bien a propos des BGM, elles sont composees par Mitsuo Hagita. Et la j'en vois qui commencent a prendre peur. Hagita est en effet tristement celebre pour ses plagiats. L'OST de Gundam 0083 comporte donc pele-mele des reprises plus ou moins (parfois tres!) inspirees de morceaux issus de films americains comme 2001 l'Odyssee de l'Espace, Invasion USA, ou encore Brainstorm. Hagita avait deja compose l'OST des OVA de Lodoss, magistrale, elle aussi plagiant allegrement celles du film Leviathan (comparatif ici). On lui doit aussi 2 chansons pour Tomomi Nishimura, reprises de titres de Mylene Farmer (sic)


Pas besoin d'avoir vu Gundam ou Z pour apprecier (meme si evidemment ca apporte un plus), je le conseille donc a tout le monde. Et si Gundam ou les combats de mechas vous emmerdent, alors visionnez la serie 0080!

Pour finir, precisons l'existence d'un film-resume de la serie, mais qui est une catastrophe.


Le deuxieme opening (mon prefere, meme si le premier est tres bien aussi)

mercredi 24 mai 2017

Panzer World Galient

(article initialement publie le 6 Juin 2010)
Titre original: Kikoukai Galient
Annee: 1984
Nombre d'episodes: 25 + 3 OVA
Auteur: Ryousuke Takahashi

L'histoire se passe dans une galaxie lointaine, sur une planete ou se melent technologie et fantasy (enfin, au niveau du design des costumes surtout. Pas de magie, pas de dragons...). Le Royaume de Border se fait attaquer la nuit ou nait le prince heritier, Jordy (ne riez pas), par les troupes de Mahdal, qui veut s'emparer de la planete. Le Roi meurt durant la bataille, mais son fidele Asbeth parvient a s'enfuir avec Jordy, a qui il donne le nom de Jojo, dont il devient le grand-pere adoptif. Durant 12 ans, ils vont sillonner le monde a la recherche du legendaire robot Galient, leur seul espoir pour pouvoir renverser Mahdal...


Galient est la 3eme serie robot de Ryousuke Takahashi, apres Dougram et Votoms, et juste avant Layzner. Cette fois-ci, on se retrouve dans un univers beaucoup moins realiste car faisant appel a l'heroic fantasy (ce qui va evidemment faire penser a Dunbine, sorti l'annee precedente).
J'ai pris un plaisir certain a suivre cet anime, qui souffre helas de 2 defauts genants:
-peu de personnages "hauts en couleurs", et certains font deja-vu (Windoh est un croisement entre Vanilla (Votoms) et Nih (Dunbine), Hai de Chiriko (Votoms) et Barn (Dunbine)... Meme doubleurs en plus!)
Seul Mahdal tire vraiment son epingle du jeu; d'ailleurs certains fans estiment que c'est lui le vrai personnage principal de la serie (et je ne suis pas loin de penser la meme chose)
-seulement 25 episodes sur 52 de prevus... Comme pour Layzner l'annee suivante, Bandai a ete decu par les ventes de jouets donc hop, on arrete l'anime en catastrophe. Les 5 derniers episodes tentent de resumer ce qui devait en faire une vingtaine... Cela dit, meme si tout s'enchaine tres vite, ca reste comprehensible. Mais c'est evidemment tres frustrant, car si on avait bien eu nos 52 episodes, Galient aurait pu devenir une tres bonne serie (la, elle n'est que sympathique).

Et puis graphiquement c'est pas terrible. Incroyable de voir le saut de qualite si on compare avec Layzner seulement un an plus tard.

Les OVA sont sans grand interet: les 2 premiers resument la serie, le 3eme est une sorte d'univers parallele qui reprend juste certains elements de l'oeuvre d'origine.

En points positifs, la bande-son est tres bien, a commencer par les fabuleux generiques signes Eurox (groupe au parcours chaotique et aux membres fluctuants, fonde en 1984, separe en 1987, regroupe en 2008, avec seulement DEUX albums a leur actif (en 87 et 2009) ). Outre Galient, ils ont aussi signe Saint Seiya Lost Canvas en 2009.

L'ambiance generale est tres sympa, l'histoire interessante et va assez loin, et Hirumuka a de gros "arguments".
Galient n'est pas la serie du siecle, c'est sur. Mais on passe un agreable moment. Cela dit, votre priorite est a accorder d'abord a Layzner.


L'opening

dimanche 21 mai 2017

Kamen Rider 555

(article initialement publie le 8 Juillet 2010)
(555 se prononce ici Faiz)

La corporation Smart Brain, la plus puissante de la terre, essaie de conquérir le monde en utilisant des Orphenoch, la « prochaine étape dans l'évolution de l'humanité », pour tuer discrètement la population humaine. Dans ce but, ils ont développé trois armures appelés Rider Gears (un pour Kamen Rider Delta, Kamen Rider Faiz et Kamen Rider Kaixa) pour trouver et protéger le roi Orphenoch qui peut réparer un défaut dans l'ADN des Orphenoch, celui-ci provoquant une dégénération de leur structure générique, et donc leur mort.

Considere comme un des meilleurs Kamen Rider (a noter que du 1er au dernier episode, pas UNE SEULE fois, le nom Kamen Rider n'est prononce!!), ce fut aussi mon premier contact avec la franchise. Mais j'ai vraiment ete surpris. Contrairement aux sentai, meme les plus adultes, ou il y a toujours des scenes clairement destinees aux gamins, la pas du tout. A mon avis, la serie vise les 14-15 ans et plus. C'est une serie sombre, tres dure (la plupart des persos en prennent plein la gueule), "hecatombesque" (il y a beaucoup de personnages au long de la serie, mais ceux qui finissent vivants ne sont pas si nombreux... A noter que parmi les suvivants, il y en a pour lesquels etrangement on ne s'y attendait pas. Et il y a un nombre incroyable de victimes chez les civils innoncents, tous ages confondus). C'est egalement completement anti-manicheen (ca j'aime). Chez les heros, on a de vraies ordures et vice-et-versa. Il y a meme un perso qui change de camp plusieurs fois tout au long de la serie!

Cette serie est a montrer a tous ceux qui pensent que le tokusatsu, c'est pour les enfants. KR 555 peut rivaliser sans problemes avec de bonnes series live americaines de SF. meme niveau effets speciaux c'est tres correct.
Le message delivre me rappelle celui de Devilman, a savoir que le pire ennemi de l'homme, c'est lui-meme, bien plus que les demons.
Il y a beaucoup de rebondissements, de personnages, d'histoires de coeur aussi (qui finissent toutes mal en general); relativement peu de scenes de combat (au debut surtout), bien que tres reussies.
Precisons aussi qu'il n'y a pas un seul Kamen Rider mais trois (bien que le 3eme arrive tardivement et ait moins d'importance), mais que plusieurs personnages (y compris chez les mechants!) en endossent les roles successivement.
Maintenant il y a quand meme 2-3 points noirs.
-l'omnipresence du telephone portable. Les persos passent leur temps a se telephoner ou s'envoyer des mails...
-le cast compose presque exclusivement de jeunes, et que des beaux gosses (la serie semble avoir un fandom feminin assez important...); ca fait un peu drama estudiantin par moments... Heureusement, les acteurs jouent correctement.
-les monstres ont un design assez chouette mais la couleur... Monochrome gris uniquement. Je me doute bien que c'est un choix artistique delibere des auteurs, mais cela fait un peu terne par moments...

Bref, ma premiere experience avec Kamen Rider a ete plus que satisfaisante, et m'a pousse a en voir d'autres ensuites. Ryuki sera le prochain sur la liste.

PS: bon point, Mika Katsumura (Time Pink dans Timeranger) a un petit role dans les 2 premiers episodes :)

Il existe aussi un film avec les memes acteurs, qui est une sorte d'univers parallele avec pas mal de dissemblances, mais vous pouvez eventuellement le visionner avant pour vous faire une idee. Je vous mets le trailer juste apres, plus representatif que le generique de la serie.

mercredi 10 mai 2017

Dairanger

(article initialement publie le 21 Juillet 2010, mais pas mal remanie)
Il y a 8000 ans, la civilisation Daos fleurissait en Chine. Elle abritait en son sein les clans Dai et Goma. Mais une guerre la fit disparaître. En 1993, cinq personnes descendant des Dai sont désignées pour contrecarrer les plans de domination mondiale échafaudés par les Goma.

Dairanger est vraiment une tres tres bonne serie (ceux que le cote "leger" de Abaranger derangent lui prefereront Dairanger). Apres visionnage, je comprends son statut de serie "revolutionnaire" dans le sens ou elle a fait voler en eclats un certain nombres de codes du sentai qu'on croyait immuables (on est en 1993 je le rappelle! Beaucoup d'eau a coule sous les ponts depuis).
Deja, il n'y a pas de leader chez les heros. D'habitude c'est le Red mais la non. Chacun a un role plus (Pink) ou moins (Yellow) important, et ils disposent certes d'un "mentor" de type vieux maitre en arts martiaux, tout du moins jusqu'au milieu de la serie, mais personne ne dirige vraiment l'equipe. On a droit aussi a des histoires personnalisees sur tel ou tel Ranger, et dans certains episodes il se peut meme que les 5 ne soient pas tous presents!
Ils sont tous tres differents: un boxeur, un cuisinier, un coiffeur, un vendeur d'animaux, et une etudiante chinoise... Dans le dernier cas, bien sur l'actrice est japonaise mais il me semble qu'il n'y avait jamais eu d'etranger dans un sentai (on met de cote Battle Fiever J dont chaque membre symbolisait un pays particulier) En plus, elle est tres forte, c'est carrement le membre le plus puissant du groupe!
Ensuite, on oublie le "monstre de la semaine". Il peut y en avoir, mais pas toujours, et meme quand il y en a un il peut tres bien debarquer au milieu de l'episode et mourir seulement 2 episodes plus tard!
Idem pour le robot des heros. Il y en a certes un (faut bien vendre les jouets) mais on est tres loin de le voir en oeuvre a chaque episode, et meme quand c'est le cas, le combat est expedie en deux minutes. Si comme moi, les combats/transformations de robots dans les sentai vous emmerdent, vous serez aux anges.

La serie est assez violente tant d'un point de vue physique que psychologique. Mort d'enfant, scene de torture... On comprend pourquoi Dairanger n'a pas ete adapte en Power Ranger! (seul les costumes ont ete recuperes)
L'esthetique, la choregraphie des combats, est ultra-travaillee, superbe a regarder, et enfonce six pieds sous terre tout ce qu'on avait vu en sentai jusque la. On est plus proche du film d'arts martiaux que des cascades d'un toku lambda.
Les monstres sont souvent tres reussis, et l'ambiance qui se degage des mechants (je ne parle pas de la pyschologie des persos, loin d'etre extraordinaire helas, mais leurs costumes, leurs decors, leurs us et coutumes...) est tres originale, limite malsaine.
Enfin, pas mal de rebondissements dans le scenario dont une "trahison" vraiment suprenante!

Pour terminer, une fin assez pessimiste. Je n'ai pas dit dramatique mais bien pessimiste (je ne developperai pas parce que ce serait un gros spoiler)

Si Jetman 2 ans auparavant avait deja amorce un changement, c'est veritablement Dairanger qui a fait entrer le sentai dans une nouvelle ere. Je le conseille vraiment certes aux fans du genre, mais aussi a ceux qui en sont restes a Bioman (qui est une bonne serie au demeurant mais bon, elle accuse son age c'est vrai) et qui pensent que le sentai "c'est toujours pareil".


L'opening

samedi 6 mai 2017

Lavithunder

 

A rajouter a la liste des anime qui n'ont jamais vu le jour...

Anime d'heroic fantasy (?) qui aurait du sortir en 86, a priori en format OVA, et pour ce que j'en sais tire d'un roman, Lavithunder n'a jamais ete mene a terme. Pourtant! Le 45 tours des generiques est bien sorti a l'epoque! Ce qui sous-entend que la production devait quand meme etre bien entamee...

Chansons interpretees par Mitsuko Horie, je vous propose l'opening, qui a la peche. C'est malheureusement la seule trace qu'il nous reste de cet anime...



mercredi 3 mai 2017

Abaranger

(article initialement publie le 18 Juin 2010)

Des scientifiques pensent que lorsqu'une météorite s'est écrasée sur Terre il y a 65 000 000 d'années provoquant la disparition des dinosaures, elle a en réalité créé deux univers parallèles : la Terre que nous connaissons est référée comme une « autre Terre » par les habitants d'une Terre peuplée de dinosaures et nommée « Dino Earth ». Mais les tribus des Dragonoids et des Blastasaures furent attaqués par les Evoliens, des amibes surdéveloppées arrivées sur Terre via la météorite. Ces derniers décidèrent ensuite de conquérir l'« autre Terre ». Mais trois amis répondant a un appel reçoivent les Dino-Guts et se dressent contre les Evoliens après s'être transformés en Abarangers.

Jusqu'a decouvrir Abaranger, mon sentai prefere etait Jetman (Carranger est hors-concours, c'est plus une parodie qu'autre chose), depuis il a du se contenter de la 2eme place. Comme disent les jeunes, "c tro d'la bal!!". J'ai trouve (pour moi!) le sentai quasi-parfait a tous niveaux.
-les persos sont TOUS tres interessants, travailles, et originaux
-dont le Red qui est pere d'une petite fille de 5 ans (du jamais vu dans un tokusatsu je pense). Bon, c'est pas sa vraie fille, mais sa niece qu'il a adoptee a la mort de ses parents en fait

-l'histoire se suit de maniere presque ininterrompue. Certes, les episodes 3 a 17 sont plus classiques, mais apres ca s'enchaine sans arret, avec plein de rebondissements, sans temps mort. A la fin d'un episode, on a toujours envie de voir le suivant juste apres (en ce qui me concerne, c'est le signe des grandes series)
-Abarekiller a une mechante classe. On n'a jamais vu un Ranger aussi dark. 

-il y a des moments assez poignants (j'avoue avoir pleure plusieurs fois)
-mais aussi beaucoup d'humour (dont le personnage de Yatsudenwani. Un monstre qui passe du cote des gentils, pas sur que ca existe dans un autre sentai. Il y a aussi un episode ou il chante, c'est assez hilarant...)
     

les bons (enfin Abarekiller (a gauche) ne les rejoint qu'a la fin)

     les mauvais

     Yatsudenwani, un perso hilarant


J'ai adore aussi un episode qui commence par 3 monstres "Evoranger" (les mechants s'appellent les Evolian), l'opening debute mais avec des images et des paroles differentes, a la gloire des Evoranger bien sur :-) Et puis au bout de quelques secondes, Abarekiller debarque et coupe tout "c'est pas fini vos conneries?", et on passe au generique normal
-les monstres justement sont souvent tres reussis, dans le genre de ceux de Jetman, a base d'objets de la vie quotidienne
-relativement peu de sequences de combats avec les robots (parfois rien durant plusieurs episodes), la serie s'attarde avant tout sur la trame principale et les relations entre personnages
-la Yellow est jolie et la mechante tres belle :-)
-les musiques (de Kentaro Haneda) et surtout les nombreuses chansons sont tres bien
-il y a une scene de sexe (episode 28). On peut apprecier ou pas, mais oser mettre ca dans un sentai, je dis bravo pour l'audace. Attention hein, c'est mega soft evidemment.
-quasiment pas d'episode sans interet ou bouche-trou, a part le Special Noel, qui comporte pas mal de flashbacks

 -certains seiyuu celebres pretent leur voix aux dinosaures et monstres (dont Hikaru Midorikawa)

Abaranger est une bonne serie jusqu'a l'episode 17, et excellente apres. Je n'ai vraiment rien a lui reprocher.



                                                   L'opening